Bienvenue à Bailly

Commune de Seine-et-Marne (77) située à 30 kilomètres à l’Est de Paris, Bailly-Romainvilliers fait partie du secteur IV de Marne-la-Vallée et appartient à Val d’Europe agglomération. Avec un territoire couvrant 801 hectares et 90 000 m² d’espaces verts, elle compte 7 582 habitants (au 1er janvier 2020 selon l’Insee).

42% de sa population a moins de 18 ans, 80% moins de 40 ans et près d’un habitant sur cinq est scolarisé en école maternelle ou élémentaire. Bailly-Romainvilliers est la Ville la plus jeune de France métropolitaine (source Insee). La commune s’adapte constamment en proposant de nouveaux services et équipements aux habitants.

Au terme de son développement, Bailly-Romainvilliers devrait compter environ 12 000 habitants.

Malgré les évolutions, Bailly-Romainvilliers a su conserver son identité de ville à la campagne. L’ambiance et l’esprit chaleureux et conviviaux qui y prévalent s’opposent à l’image impersonnelle que renvoient un grand nombre de villes nouvelles. Son attachement à son passé et son patrimoine y participent très fortement.

Bailly-Romainvilliers possède à cet égard une particularité assez rare et originale : tous ses noms de rues font référence à des lieux-dits et au patois briard. Citons pour exemple les noms de nouvelles voies : Flutiaux (chaumes mal coupés), Tahuriau (nuage d’orage) ou Binaille (époque de la semaille des blés).

Galerie photos

La signification des noms de rues

A découvrir pour l’Histoire et le plaisir !

rue et impasse des Canis ( petit canard)
rue de l’Escot ( galoche)
de la Chevrille ( cornemuse du berger en peau de chevreau)
rue des Carniots ( lucarnes, en patois briard)
place des Flutiaux ( chaumes mal coupés)
rue du Sinot ( grenier)
rue des Rougériots ( champs de couleur rouge)
rue de la Binaille ( époque de la semaille des blés)
rue de la Travôchée ( versée de récolte)
rue de l’Accin (t errain de jeu d’étendue)
esplanade du Toque-Bois (pivert)
rue du Tahuriau ( nuage d’orage)
rue des Galarniaux ( giboulées)
rue de la Verdaulée ( courte averse)
rue des Boulins ( bouleaux)
rue des Mûrons ( mûres)
rue des Berdilles ( brindilles)
rue de l’Aunette (aulne, aunée)
rue de Bellesmes (ancien château seigneuriale du 12ème siècle)
rue du Bois de Trou (bois)
rue Cernon (nom du propriétaire du bois de Montceau)
rue des Chagnots (champs de terre de petite contenance, surtout étroit en largeur)
rue des Cinelles (fruit de l’aubépine)
rue des Clayons (portillon en bois fermant un jardin)
rue du Four ; ancien four communal
rue des Friches ; terres incultes
rue des Frontailles (petits champs accolés)
rue du Gué (passage dans une rivière est, en Brie, une mare située près de l’habitation, dont l’eau sert à abreuver les bestiaux et aussi de réserve en cas d’incendie)
esplanade des Guinandiers (flâner, se balader sans but précis)
rue de Jariel (terre graveleuse en Brie)
rue du Lavoir, ancien lavoir
rue des légnots (liserons des champs)
rue de Lilandry (île Andry, du nom de la ferme appartenant aux moines de St Germain depuis 1191)
rue des Loquettes (petits champs de quelques perches – ancienne mesure agraire)
rue aux Maigres (auge destinée à recevoir les eaux grasses pour nourrir les cochons)
rue des Marnons (paniers en osier accrochés de chaque côté d’un mulet)
boulevard de la Marsange (ruisseau de la Folie qui prend sa source à Romainvilliers et se jette dans la Marsange)
rue des Mouillères (endroits humides dans un champs)
allée du Parc (dépendance paysagère de la Ferme Saint Blandin)
rue Saint Blandin (ancienne chapelle reconvertie en ferme)
rue de la Sellotte (petit siège destiné à la traite des vaches)
rue Tournaille (champs de terre dont la longueur est perpendiculaire aux autres champs)
rue des Venvolles (neige ou gouttes de pluies légères et espacées)
rue Les Armières (sommet d’une muraille de clôture)